LOUIS LE KIM

LAURÉAT DU PRIX DDESSIN {20}

Louis Le Kim, présenté sur l’évènement par la Galerie LEYMARIE – qui participe pour la troisième année consécutive au salon, a été désigné lauréat du prix DDESSINPARIS / INSTITUT FRANÇAIS DE SAINT-LOUIS DU SÉNÉGAL, ce jeudi 17 septembre 2020.

Louis Le Kim bénéficiera d’une résidence de création, pour une durée d’un mois à la très convoitée Villa Saint-Louis Ndar. A l’issue de sa résidence, l’artiste aura la possibilité d’exposer son travail à la Galerie du Fleuve de l’Institut français de Saint-Louis. Il sera également mis à l’honneur lors de la prochaine édition de DDESSINPARIS, DDESSIN {21}.

Membres du jury 2020 : 

Christine de ChiréePrésidentehistorienne de l’art et collectionneuse Chris CyrilleCommissaire indépendant, critique d’art et poète, lauréat 2020 du prix Aica France de la critique d’art ; Jacques Deretcollectionneur et cofondateur de Art [ ] Collector ; Marianne Dollocollectionneuse et Art advisor Jenny Graserconservatrice du département dessin et estampe du Kupferstichkabinett de Berlin Claire Lunacommissaire d’exposition et critique d’art ; Edwart Vignotcollectionneur, historien de l’art et chroniqueur France Télévisions.

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Louis Le Kim

Louis Le Kim parcourt le monde entier, du Caucase à l’Afrique, en passant par l’Irak ou le Kazakhstan, à la recherche d’espaces inoccupés – friches industrielles, sites miniers ou souterrains désertés… – qui forment la matière brute d’une œuvre empreinte du silence et de l’absence propres aux sites architecturaux qui l’inspirent.

Cet artiste explorateur arpente des lieux vides, baignés de mystère, et les dépouille de toute fonction, de tout ancrage dans l’espace ou le temps, afin d‘ouvrir l’esprit sur ce qu’il appelle une « déambulation contemplative dans des espaces non fonctionnels ».

Et ces assemblages imaginaires à l’esthétique épurée sont soustraits à toute histoire et toute origine, afin de laisser au regardeur la possibilité de s’approprier l’univers représenté.

Louis Le Kim a toujours dessiné au graphite des constructions fantasmées aux accents brutalistes, utilisant la perspective et les jeux de lumière pour franchir les limites imposées par le réel, et restituer sa propre vision des lieux explorés.

En 2009, l’artiste découvre et arpente notamment les souterrains de Paris (Distribution Electrique, Climatisation, Chauffage Urbain, Telecom, Chemins de Fer, Egouts, Carrières, Abris anti bombardements, etc.).

Il entre en école d’art à la Villa Arson à Nice en 2010, et étudie aux Beaux-Arts de Paris en 2013-2014.